Kali linux live, sur une clé USB

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Kali linux live, sur une clé USB

Message par admin »

• Assurez-vous de posséder une "bonne" clé usb (mini 16Go (32Go c'est le top si vous voulez faire des mises à jour) et très rapide de préférence)

• télécharger kali live : kali liux live boot .iso ( https://www.kali.org/get-kali/#kali-platforms ) c'est ici :
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1) Cliquez en premier ici
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2.png (127.38 Kio) Vu 872 fois
1) Cliquez ici pour télécharger l'iso,
2) Cliquez ici pour avoir le checksum (au cas où vous voulez tester si l'iso que vous avez téléchargé, est bien le bon)

• téléchargez et installez Rufus ( https://rufus.ie/downloads/ )
téléchargez et installez DiskGenius ( https://www.diskgenius.com/fr/download.php )

( toute la première partie se fait sous windows 10 ou 11 (de préference). Je n'ai absolument pas testé sur les autres versions de windows, mais il n'y a pas de raison, si vous êtes un peu dans le passé que ces logiciels ne fonctionne pas sous votre windows)


1. REM (facultative) : Ici il n'y aura pas d'explications sur l'utilisation de Rufus ni de DiskGenius (ce qu'on veut faire est relativement simple, et ces logiciels sont très intuitifs pour les choses peu poussés qu'on veut en faire)
2. Insérez la clé usb (dans un port usb vide de votre PC sous Windows), lancez Rufus qui détecte votre clé normalement, puis glissez-deposez (à partir de poste de travail de windows -> dans Rufus) le fichier .iso de Kali Linux Live.
3. Laissez les options de Rufus par défaut, ça tombe bien, c'Est-ce qu'il nous faut pour que notre clef soit bootable et correctement formatée et l'iso correctement installé. (il n'y a rien à faire, laissez tout par défaut)
4. Assurez-vous juste que ce soit bien votre clé usb sur laquelle vous voulez installer Kali live soit bien mise en place dans Rufus, dans "Periférique" (et pas votre disque dure du système par ex... Aie, Aie, Aie, les dégâts que ça pourrait causer...). Si tout est correct, cliquez sur "Démarrer"
5. REM (facultative) : Si Rufus, veut faire des mises à jour de certains fichiers nécessaires à la génération de la clé usb, le contrariez surtout pas, dites-lui "Oui! A tout" (de toutes façons s'il est pas d'accord, il ne lance pas la génération de la clé usb). À la fin de l'installation de votre iso sur la clé usb bootable, celle-ci devient bootable et vous pouvez, dors-et-déjà lancer Kali live sur votre PC portable (ou il y avait un autre système d'exploitation, tel Windows, mais comme vous bootez sur la clé usb Kali live, cela ne changera pas votre système ancien système d'exploitation qui est installé physiquement sur le pc portable, et ça ne changera rien du tout d'ailleurs ni à votre disque dur de portable, ni aucune autre config du portable... Vous bouterez juste sur Kali live que vous venez de créer sur une clé usb, et tout s'effectue sur la clé usb, tel le système d'exploitation (Kali live) les fichiers temporaires, et autres mémoires ainsi qu'autres gestionnaires de fenêtres et autres shells... Tout se passe entre votre clé USB et votre RAM. Rien d'autre, d'où l'avantage d'un système live (comme Kali live). La seule config un peu plus poussée (et encore...) que vous devrez faire (même pas sûr, car la config du bios par défaut devrait pouvoir lancer votre clé usb), c'est de regarder un peu sur votre téléphone portable comment aller dans le bios (souvent la touche "suppr" ou "F2", mais selon le bios, il y a aussi d'autres touches d'entrée dans la configuration du BIOS (anciennement) et UEFI (actuellement)), puis voir d'autres tutos pour la configuration de votre bios, notament, l'ordre de boot des périfériques. En gros, il faut dire à l'UEFI qu'il doit d'abord booter sur la clé usb, avant de ne booter sur le disque dur, la priorité de boot. Comme ça c'est pas votre Windows pc portable (stoqué sur disque dur) qui se lance, mais votre Kali live sur clé usb, et ce en tout premier.
6. REM (facultative) : En gros pour les moins gourmands en infos, le tuto est fini, et vous pouvez d'ores-et-déjà commencer à vous former au White Hat Ethical Hacking sur votre nouveau système Kali Live....
7. REM (facultative) : Mais pour les autres, ça ne fait que commencer. En effet, j'ai une petite question... Que je me suis posé, avant de faire ce tuto.... Comment faire si je suis connecté en WiFi? A chaque redemarrage de Kili live, je perds ma clé WiFi, (normal, rien n'est stoqué car c'est un système live) et je dois donc la retaper à chaque fois??? La galère!!! 🙁 Surtout qu'une clé WiFi, pour être solide et efficace doit être très longue... 🙁 Je suis trop fainéant et de toutes façons, je pense que c'est le cas de tout le monde, rien que pour stocker la clé WiFi, ça vaut le coup de faire une partition persistante.... Et le monde de linux est magnifique pour ça, car, dès qu'il y a un problème, il y a quelqu'un qui planche dessus et qui trouve une solution... Alors, la solution pour stockuer la clé WiFi (et rien que pour ça, ça vaut le coup, sans vous parler de toutes les autres configs de clavier ou de vos logiciels préférés sous Kali Live, et même les Pen-Tests, ou autres données récoltés, ou tout simplement que vous ne voulez pas perdre en redémarrant le Kali Live)
8. REM (facultative) : Pour la petite théorie de la partition persistante et Kali Live (merci à Copilot pour toutes les explications) : En fait, lorsque Kali Live boot sur la clé USB, il se charge en mémoire RAM, en créant un système de fichiers en RAM appelé "Live Overlay". C'est donc dans cet Live Overlay que tout s'exécute, et est stocké, temporairement, tout shell, programme, fichier de configuration, même la clé WiFi (qu'on convoite tellement) sont stockés dans cet Live Overlay. Mais, voilà! Il s'agit de la RAM (Random Access Memory) qui est une mémoire volatile (C-à-d qu'elle est valable que lorsqu'elle est alimentée par du courant électrique.). Donc, lorsque vous faites "poweroff" ou "reboot", tous les condensateurs (pour parler comme les anciens. Lool) se vident, et cette RAM n'a aucun moyen physique de garder ces données précieuses (et la clé WiFi tant convoitée se perd dans l'espace intersidéral des 1 remplacés par des 0, ça fait un RAZ, ou bien connaissant un peu les RAM à l'ancienne, souvent, ça crée des bouts de donnés, du n'importe quoi, au hasard, souvent des bouts de codes et de OS inexploitables, car il faut bien le dire c'est n'importe quoi.). Volià pourquoi les linuxiens ont trouvés la solution de la partition persistante et de l'UnionFS, pour les systèmes Lives (anciennement Lives-CD (d’où le stockage en RAM, je pense, car vous le savez très bien (enfin, j'espère, pour ceux qui connaissent les CD), on ne peut pas écrire sur un CD, car c'est considéré comme de la ROM (Read Only Memory), mais maintenant sur USB). Une partition UnionFS (bien configurée), dit qu'en gros tout ce qui est stocké en RAM est reproduit à l'identique sur un système de fichiers (en gros, je m'explique un peu ça comme une création de lien physique "hardlink" linux crée par l'instruction "ln fichier1 fichier2". Il s'agit d'exactement le même fichier mais, les deux fichiers pointent vers lui (mais physiquement c'est le même fichier, mais c'est comme s'il était à deux endroits différents (il n'y a pas de duplication), mais bon, avec le petit bémol que les liens physiques ne cohabitent que dans le même système de fichiers, mais bon, ça c'est pour les plus puristes...). Si un fichier, ou une donnée, ou le moindre petit bit change dans un des deux fichiers, il est directement répercuté dans l'autre fichier et réciproquement (vu qu'il s'agit du même fichier, mais deux endroits distincts le pointent. Donc à tout instant T le Live Overlay est répercuté et recopié sur notre espace UnionFS. Et voilà, nous l'avons notre partition de persistance. Voilà pour la petite théorie.
9. REM (facultative) : Alors, pour la suite, en revenant après l'installation de l'iso sur la clé USB par Rufus... Si ce dernier vous dit (après avoir pris le temps de lire la théorie) que votre clé est prête et que vous pouvez la retirer proprement (il y a des logiciels qui ont pour habitude d'éjecter les clé USB, comme à l'époque des graveurs de CD qui éjectaient à chaque fois la galette, quand la gravure était terminée). Si la clé USB a été éjectée donc, il faut la débrancher du port USB et la rebrancher dans ce dernier. Si elle a pas été éjectée, il n'y a rien à faire 😉
10. Lancez DisckGenius. Cherchez un peu comment redimensionner une partition (celle de votre clé USB) ou si vous trouvez pas cherchez-vous un bon tuto, ça doit exister... Normalement, c'est facile à faire (Ctrl+F11, dans la dernière version de DiskGenius - v6.0.1.1645 x64). Kali Linux Live nécessite au minimum 4 – 5 Go pour l'OS à proprement parler, si vous avez suivi la théorie, vous le savez déjà, que pour les plus économes (ceux qui possèdent une très petite …. Clé USB!), ou pour autres raisons, vous pouvez lui donner le minimum, car l'image bootable de Kali Live sur la clé USB, n'agit que comme une ROM, et elle ne sera ni modifiée, ni diminuée, ni augmentée, donc le minimum suffit, mais, bon, je lui en donne un peu plus, juste pour le fun. Faîtes-vous donc une bonne taille pour la partition vierge (qui sera destinée à la partition persistante) en glissant la flèche vers la gauche, afin de diminuer la partition Kali Live, d'au moins 8 – 10Go... Moins pourrait aussi surement suffire, mais, bon...
11. Donc, on as nos deux partitions, la première plus à gauche – Kali Live – et la deuxième, plus à droite – partition vierge - . N'installez ni formatez ni créez de systèmes de fichiers sur la partition vierge, il faut la laisser telle qu'elle, nous allons créer le type de partition et le système de fichiers sous Kali Live, à l'ancienne, pour les pros! (il n'y a pas à tester les mauvais secteurs de la clé USB, comme il nous le préconise, car, on vient de la créer)
12. Il faut faire appliquer les modifications de la clé USB, l'écrire sur la clé USB en quelque sortes, et quitter DiskGenius.
13. Voilà, vous avez bien travaillés sous Windows 11, place aux config de Kali Live.
14. REM (facultative) : Comme je l'explique, dans l'étape 5, il faut configurer l'UEFI de votre pc, afin de le régler pour que la séquence de boot soit d'abord USB, puis, après Disque Dur (SSD ou physique), mais pour la plus part de vous tout cela est déjà configuré par défaut, alors, je crois que vous n'aurez rien d'autre à faire qu'insérer la clé USB dans le lecteur et appuyer sur Power-On de votre PC, pour voir votre Système Live Kali booter sur le menu de démarrage. Pour les plus curieux, vous pouvez tenter un premier lancement Kali Live (la première option du haut "Live (amd64)"), puis démarrer le Kali Live, tout faire bien, configurer votre clé WiFi, et vous casser les dents, car si vous redémarrez et repassez par la même option de boot, rien n'a été stocké, et tout redisparraît.
15. On va plutôt choisir "Live USB Persistence" (c'est celle que j'ai choisi, je n'ai rien à me cacher, et je prêterais pas ma clé USB), ou bien pour ceux qui sont plus paranos que moi "Live USB Encrypted Persistence". Les deux options se ressemblent sur le fait qu'il s'agit d'un disque de persistance (qu'on va créer et configurer), sauf que la deuxième est cryptée par un mot de passe, donc s'il y a qqn qui fouille votre clé USB, pour n'importe quelle raison, il ne pourra pas retrouver tous les PEN-Tests que vous avez faits, et tous les sniffs et autres (encore la clé WiFi), qui sont des données sensibles de votre réseau ou de votre organisation (codes IP, bases SAM de Windows (pour pratiquer la connexion par rejoue), mots de passes (trouvés avec JohnTheRipper) etc, etc...) Choisissez donc l'option 4 ou 5 selon votre besoin.
16. Une fois le boot términé, vous avez un beau système Kali Live, avec tous les outils de PEN-Test, (comme MetaSploit Fondation, vous pouvez essayer cet outil extrémement puissant en lancant un shell et tapez à l'invite "msf". La belle technologie se lance, en chargeant tous les exploits disponibles dans msf... vous pouvez aussi tester AirCrack-NG pour les test de votre réseau WiFi, ou bien nmap qui est un scanner très puissant open-source. Mais il y a aussi de installé aussi bien sur WireShark et JohnTheRipper, et bien sûr beaucoup plus et plus encore!).
17. Mais en ayant fait un petit tour très rapide pour s'habituer un peu à l'interface, passons aux choses sérieuses : la configuration de ce fameux disque persistant...
18. La doc officielle : https://www.kali.org/docs/usb/usb-persistence/ , lisez-là, je me suis permis d'y apporter quelques modifications dans ce tuto...
Je passe direct aux instructions à taper dans le shell (bash)… Je vous conseille de lancer une fenêtre shell (bash) la noire (la rouge etant mode root, et la bleue etant PowerShell (surprenant Kali, j'ai pas encore vraiment test...). Vous avez tous les outils qu'il vous faut même le PowerShell, apparemment retranscrit et recompilé pour Kali pour les gros balaises qui vont s'attaquer aux serveurs Window Server 2022... (En février 2016, PowerShell 5.0 a été mis en ligne par Microsoft et il s'agit de la version introduite dans la première version de Windows 10. Ensuite, en août 2016, Microsoft a publié PowerShell 5.1 pour Windows Server 2016 et Windows 10 v1607) - Source : recherche BING... -
19. Lancez donc le bash, noir, et ne faites pas comme moi (sudo su -), ça peut etre plus dangereux que d'ajouter "sudo" avant chacune de vos instruction, de toutes façons le compte kali (qui se lance) est dans le fichier sudoers, et donc, à chaque fois que vous employez une instruction "sudo quelque-chose" vous n'aurez pas à taper le mot de passe! Génial! Tout as été simplifié avec les différentes évolutions de Linux...
20. Dans les lignes suivantes, remplacez le "X" de l'instruction usb=/dev/sdX par la lettre de votre lecteur. Si vous avez qu'un disque dur dans votre pc portable (ce disque sera /dev/sda) et donc votre clé sera /dev/sdb. Il faut donc remplacer le "X" par "b" dans mon exemple. Pour vous simplifier la vie, il y a une instruction "lsblk". En tapant cette commande, il s'affiche un arbre de tous vos disques. Comparez ensuite avec les taille du disque (vous savez que votre premier disque dur fait 500Go par ex, et que sa lettre est donc /dev/sda (les 1, 2... ce sont les differentes partitions). De plus vous savez que vous avez créé (redimensionné une partition avec DiskGenius), pour Kali Live d'une taille de 8Go par ex, vous voyez donc que c'est bien le disque dur /dev/sdb (il y a marqué 1 à côté du "b", cela donne /dev/sdb1 pour la partition principale numéro 1 du disque b (où est stocké Kali Live). Lors du formatage de l'espace vierge vous pourrez choisir le petit numéro à côté du "b", ce qui va donner : /dev/sdb2 voir si vous voulez /dev/sdb3 ou même /dev/sdb4...
21. Je reprends le tuto que je vous ai cité :

Code : Tout sélectionner

usb=/dev/sdX2 
sudo fdisk $usb <<< $(printf "n\np\n\n\n\nw")
22. Ce tuto va à la vite, mais vous pouvez aussi taper :
23.

Code : Tout sélectionner

usb=/dev/sdb2 
sudo fdisk $usb 
24. Et suivre les étapes de configuration de fdisk, à la première invite il faut taper sur la touche "n" (pour new partition), puis "Entrée" puis "p" (pour principal partition), puis 4 fois "Entrée" (les tailles par défaut, ce qui prend la taille maximale de la occuper tout l'espace vierge (qu'on a créés tout à l'heure dans l'étape 10, sur DiskGenius sous Windows 11) et enfin "w" (pour write ou écrire, et sortir) les deux instructions font exactement la même chose, mais il y a l'étape 21 pour ceux qui veulent aller vite, et l'étape 23 pour voir un peu comment ça se passe... (vous avez peut-être remarqué qu'on a fait exactement la même chose dans notre étape 23 que ce que fait exactement l'instruction "<<< $(printf "n\np\n\n\n\nw")" de l'étape 21, en remplaçant les "\n" par la touche "Entrée" et le reste ce sont les lettres n, p et w...
25. Refaittes donc un petit lsblk pour voir et la nouvelle partition principale crée, et notez bien le numéro que vous avez renseigné à l'étape 23 - 24, pour ceux qui ont voulu choisir... Vous allez voir que linux est sage et il vous as bien attribué le bon numéro de partition principale (par ex: 2), à côté du bon disque dur (sdb). Ici je considère que vous avez comme moi et que vous avez /dev/sdb2 pour la nouvelle partition principale destinée au volume de persistance...
26. Maintenant, tapez ce qui suit (et surtout ne vous trompez pas en tapant le mot "persistence", c'est comme un mot-clé, c'est le nom du volume de persistance de Kali Live, le fameux "UnionFS", ou bien faites un copié collé du tuto que je vous ai donné ou à partir d'ici. Et aussi, ne vous trompez pas dans le numéro de partition, ici pour moi, ça va donner "${usb}2" qui va être remplacé par le système par "/dev/sdb2". Voici ce que ça donne chez moi :
27.

Code : Tout sélectionner

sudo mkfs.ext4 -L persistence ${usb}2
28. Il y a rien à faire ici qu'attendre plus ou moins longtemps, tout se fait automatiquement, rien ne sert à bourriner la touche "Entrée", vous risquez juste de faire planter le système, dans un moment critique en plus. Rien à faire qu'attendre que votre invite de commande "kali@kali:~$" revienne afin que vous puissiez faire la suite des instructions.
29. Dans les étapes suivantes, vous allez créer un dossier de point de montage avec "mkdir" ; monter la partition persistante à l'aide de "mount" et enfin configurer le volume de persistance en créant le fichier "persistence.conf" et en écrivant dedans "/ union", tout ça à l'aide d'une ligne de comande composée de "echo" de "|" et de "tee". Voilà pour le code à taper :

Code : Tout sélectionner

sudo mkdir -p /mnt/my_usb 
sudo mount ${usb}2 /mnt/my_usb 
echo "/ union" | sudo tee /mnt/my_usb/persistence.conf
30. Après ma config m'impose de mettre "${usb}2" mais le petit 2 peut varier en fonction de la config vous avez fait lors du formatage à l'étape 23 – 24. Ne changez surtout pas "/mnt" par contre, si vous voulez un dossier plus personnel à la place de "my_usb" remplacez "my_usb" par "mon_dossier" par exemple, ce qui donnerait : "/mnt/mon_dossier". Ensuite si vous modifiez le nom de dossier "my_usb" par un nom plus personnel, n'oubliez pas de le changer partout où "my_usb" apparaît.... Mise à part les changements que j'ai cité, et qui sont personnalisables, vous ne devez surtout pas modifier quoi que ce soit d'autre, à la limite faites des copier-coller d'ici, vers votre bash (en prenant bien soit de modifier "${usb}2" en "${usb}3" par ex et aussi "/mnt/my_usb" par '/mnt/mon_dossier". C'est tout ce que vous pouvez personnaliser.)
31. Dans le tuto dont je vous ai donné le lien, je crois qu'il y a une erreur, ou bien il y a quelque chose qui m'échappe (je pense que c'est plutôt moi, mais bon, après une longue nuit de "speech" avec Copilot, et plusieurs hypothèses émises, je crois qu'on ne peut pas exécuter la dernière instruction qui consiste en "sudo umount ${usb}2" car le disque est ouvert en écriture, vu que le système en a besoin pour écrire les données, sans cesse, et on ne peut pas fermer les programmes qui s'écrivent sur le disque persistant, car il s'agit du système d'exploitation Kali Live lui-même...) Mais bon, il y a beaucoup de mystères linux qui m'échappent encore, et je suis même pas sûr que j'ai suivi correctement le tuto, vu que j'ai fait avec DiskGenius, une partition vierge, pour pouvoir créer le disque persistant, ce que le tuto officiel ne le mentionne nulle part...
32. Quant-à moi, je vais faire quelques tests si ça marche je vais être très content!!! 😊
33. Je vous conseille de faire de même, et donc à commencer par redemarrer votre système
34.

Code : Tout sélectionner

sudo poweroff
35. Ou
36.

Code : Tout sélectionner

sudo reboot
37. Après le premier reboot, j'ai quand même rebooté une deuxième fois, inutilement peut-être mais ça coute rien...
38. Après tous ces reboots et boots, quand le système as bien booté sur le bureaux, je vous conseille de faire le test le plus simple possible :
39. Cliquez sur une zone vierge du bureau, puis créez un nouveau dossier que vous nommez comme vous voulez (vous pouvez même utiliser des majuscules pour qu'il soit bien visible), et avec la souris, déplacez le bien au milieu, afin qu'il soit bien distinct des autres fichiers du bureau et bien visible, en plein milieu.
40.

Code : Tout sélectionner

sudo reboot 
41. Une fois votre système rebooté (ça peut s'avérer un peu plus long), miracle, le dossier en plein milieu apparait, ce qui est la recompense de votre travail – VOUS AVEZ REUSSI -
42. Petite remarque : normalement, votre dossier "my_usb", qui était le point de montage de létape 29, ainsi que le fichier "persistence.conf" ont maintenant disparus. C'est tout à fait normal. Si vous refaites un petit "lsblk" pour voir où Est-ce qu'il est passé, vous remarquerez, qu'il est alors monté dans un endroit plus "système" de Kali.
43. Alors, voilà, je casse tout, et je recommence, pour une encryptation persistente. Je reprends ici, le tuto qui se trouve ici :
44. Observez vos partitions dans /dev/sdX :

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sudo parted /dev/sdX print
Model: SanDisk Extreme (scsi)
Disk /dev/sdX: 62.7GB
Sector size (logical/physical): 512B/512B
Partition Table: msdos
Disk Flags:

Number Start End Size Type File system Flags
1 32.8kB 4927MB 4927MB primary boot, hidden
2 4927MB 4932MB 4194kB primary

kali@kali:~$
45. Cryptez la partition avec LUKS :

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sudo cryptsetup --verbose --verify-passphrase luksFormat /dev/sdX2
WARNING!
========
This will overwrite data on /dev/sdX3 irrevocably.

Are you sure? (Type 'yes' in capital letters): YES
Enter passphrase for /dev/sdX2:
Verify passphrase:
Existing 'ext4' superblock signature on device /dev/sdX2 will be wiped.
Key slot 0 created.
Command successful.
kali@kali:~$
46. Ouvrir la partition cryptée :

Code : Tout sélectionner

sudo cryptsetup luksOpen /dev/sdX2 my_usb
Enter passphrase for /dev/sdX2:
kali@kali:~$
47. Créer un système de fichiers ext4 et lui donner l'étiquette :

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sudo mkfs.ext4 -L persistence /dev/mapper/my_usb
mke2fs 1.47.2 (1-Jan-2025)
Creating filesystem with 14110720 4k blocks and 3530752 inodes
Filesystem UUID: aca1783a-4665-4077-b555-c748e391def1
Superblock backups stored on blocks:
32768, 98304, 163840, 229376, 294912, 819200, 884736, 1605632, 2654208,
4096000, 7962624, 11239424

Allocating group tables: done
Writing inode tables: done
Creating journal (65536 blocks): done
Writing superblocks and filesystem accounting information: done

kali@kali:~$
48. Montez la partition et créer "persistence.conf" donc changer la persistence après reboot :

Code : Tout sélectionner

sudo mkdir -pv /mnt/my_usb
mkdir: created directory '/mnt/my_usb'
kali@kali:~$

Code : Tout sélectionner

sudo mount -v /dev/mapper/my_usb /mnt/my_usb
mount: /dev/mapper/my_usb mounted on /mnt/my_usb.
kali@kali:~$

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echo "/ union" | sudo tee /mnt/my_usb/persistence.conf
/ union
kali@kali:~$

Code : Tout sélectionner

sudo umount -v /mnt/my_usb
umount: /mnt/my_usb unmounted
kali@kali:~$
49. Fermer la partition cryptée :

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sudo cryptsetup luksClose /dev/mapper/my_usb
50. Votre clé USB étant prête, vous pouvez redémarrer :

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sudo reboot
51. Pour la suite, je m'arrête là, ça fonctionne très bien, si vous voulez une sécurité plus poussée (ou plutôt, sauvegarder votre partition cryptée, et la restaurer), vous pouvez suivre la suite du toto ici -> https://www.kali.org/docs/usb/usb-persi ... ncryption/
52. Ah si! Un petit truc pratique, si jamais, vous vous retrouvez à l'écran de veille et qu'ensuite, vous vous retrouvez à la saisie de mot de passe, que vous ne connaissez pas… Et de toutes façons, ils est très pratique de changer votre mot de passe, et de pas vous servir du mot de passe par défaut, que tout le monde pourrait connaitre :
ouvrez un terminal,
tapez dedans :

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sudo su -
ou

Code : Tout sélectionner

sudo -i
Ensuite, lorsque vous êtes en root tapez :

Code : Tout sélectionner

passwd
saisissez votre nouveau mot de passe de l'utilisateur root
Ensuite :

Code : Tout sélectionner

passwd kali
saisissez votre nouveau mot de passe de l'utilisateur kali.

Bons tests.
À bientôt pour un futur tuto, peut-être...



Sources : https://www.kali.org/docs/usb/usb-persistence/ et des bons dialogues avec Copilot de Microsoft (surtout) mais aussi ChatGPT de OpenAI , puis https://www.kali.org/docs/usb/usb-persi ... ncryption/